Akamatsu Reiko [100%]

• Personnage by Mikki {Ulzzang}

Nom > Akamatsu
Prénom > Reiko
Âge > 18
Année > 1ère [ X ] 2ème [ ] 3ème [ ]
Sexe > M [ ] F [ X ]
Clan/Rang > Yuki

• Histoire

Caractère > Le caractère de Reiko, rien de bien difficile, rien de simple mais ce qui est certain c’est que la jeune asiatique reflète plusieurs traits. Par acte, défauts, qualités, comme chacun de nous en fait. Ce qu’il en est ?

Cause I can be so sweet/nice

« Sweet », ou plutôt soft et nice. En effet, Reiko est gentille et non peu pas le nier. Certes avec toutes ces histoires assez ambigüe de guerre de clans, elle pourrait forcément être amenée à faire la méchante et la dure, mais procédons par étape : nous y sommes pas encore. Donc, oui, Reiko est gentille notamment avec ses proches, amis et autres. Ce trait semble d’autant plus renforcé avec ces dits proches quand on sait que celle-ci y est fidèle. Comment cela ? Bien oui, en ces temps de discordes dans son école, elle a même gardé son lien précieux avec une de ses amies, qui est d’ailleurs hélas dans l’autre clan. Et à en voir ce que les affrontements entre eux peuvent donner, cela relève d’un grand attachement.
C’est peut-être un peu de tout ça qui fait qu’elle est quelque part adorable. Bien oui, elle a ce côté, on peut le dire là, tendre. Quand on la connait, c’est un bon moment qu’on peut passer avec elle. Si on ne se retrouve pas à son opposé ou son ennemi, c’est une fille qui est agréable ! Elle aspire aux bons moments autant que les autres. Mais, il ne faudrait pas trop se laisser prendre qu’à ses aspects gentillet, elle n’est pas non plus sotte ! Ce que vous ne tarderez pas à découvrir.
Mais poursuivons sur les points « doux » : la fille se trouve être particulièrement généreuse. Aider, donner, partager ne la dérange pas, elle le fait spontanément. Ce qui, on l’admettra, la rend bien encore assez adorable. Pour elle, donner est important : c’est un échange, c’est un acte de sympathie, un acte véritable comme il y en a parfois si peu. Mais laissons la philosophie pour plus tard !

I’m not perfect ! Does it means that I’m mean ?

Non ! On ne peut pas dire ça, et je le soutiens ! Je le disais auparavant, Reiko est une jeune femme gentille et agréable, seulement seulement… Quoi ? Et bien comme tout à chacun, elle possède quelques défauts. Le plus dangereux est bien sûr son côté manipulateur. Qu’elle le soit consciemment ou non par ailleurs. Sans le vouloir oui, elle peut se montrer manipulatrice et obtenir ce qu’elle voudrait si cela lui prenait. Notamment dans le contexte de l’école, comment rester blanc comme neige ? Utile ? Peut-être mais encore une fois, je pense que Reiko le ferait que dans des cas précis. Lesquels ? Ceux qui la mettent « en danger ». Terriblement entêtée parfois, il n’y a que sa raison pour y mettre un calme ou en faire une pause. Mais aussi peut-être par simple susceptibilité. Car oui, elle est sans aucun doute susceptible, ou plutôt sensible sans trop le montrer non plus (ce qui pourrait la rendre d’autant plus sensible paradoxalement). Elle apprécie quand les remarques sont dites dans la délicatesse et non de façon brute, les tolérant beaucoup mieux quand cela vient de quelqu’un de proche. Et encore, ce n’est pas toujours aussi simple : tout de dépend de quoi il est question. Puis cette sensibilité est parfois aussi facilement touchée qu’elle est facilement déguisée ou cachée, du moins Reiko le pense. Toutefois : non, elle ne veut pas se montrer insensible et ne se montre d’ailleurs pas ainsi !
Enfin, si vous ne voulez vraiment pas vous la mettre à dos, une seule consigne cette fois : ne lui infligez tout simplement aucune humiliation telle qu’elle soit. Humiliation, pas petite mais les vraies humiliations qui lui sont difficilement vivable. Pourquoi tant pour ce qui pourrait être si peu ? Tout simplement parce que l’étudiante est très fière. Quoi de plus heurtant qu’une fierté détruite ? La honte et l’antidote ou la potion tue-loup de la fierté, alors imaginez un peu dans quel état cela intérieur cela pourrait la mettre… Intérieur oui, seulement, ayant une contenance venant d’un certain sang-froid mais ce développement : on arrivera un peu plus loin.
Donc pour en revenir à sa fierté, celle-ci fait légèrement écho quand on parle de la prétention de Reiko. On ne dirait pas au premier abord qu’elle l’est, mais pourtant c’est bien le cas. Enfin, certaines mauvaises langues trouveront à dire que de toutes les façons elle fait la hautaine et la fière qui au-dessus de tout le monde mais c’est largement exagérer ! Il n’y a que les mauvaises langues pour le dire en attendant.

After all, I’m a « Yuki » so I guess I’m alike some of them

Oui, Reiko fait partie des Yuki et en a même quelques caractéristiques. Lesquelles ? Et bien je l’avais cité plus haut, mais son sang-froid ou calme, comme vous l’entendez. Contrairement aux Ruris, qui sont assez impulsif, les Yukis et elle un peu par conséquent sont plus posés. Comme, elle reste assez calme et pense avant d’agir, choisissant aussi judicieusement que possible que faire.
C’est un aspect assez responsable ou qui le rend du moins. Mais qui met surtout en valeur une certaine intelligence que les professeurs aimeraient sûrement plus voir sur feuille que dans les joutes et plans. Oui, je l’avais dit, Reiko et loin d’être bien, sans être pour autant une méchante sans le moindre cœur. Elle n’est pas difficile ou particulière si ce n’est sa sensibilité cachée en fin de compte ou sa fierté et son côté borné qui la rend affreusement, parfois, difficile à comprendre ou à suivre mais généralement : elle est l’agréable jeune fille que ses amis connaissent.

Histoire > On a toujours tendance à commencer une histoire lors de la naissance du personnage sur laquelle l’histoire est centrée. Pourtant, là où je commence sera juste avant ça.

« Mukashi Mukashi nai ! » :

Cela me semble si loin que je me demande si ça fait seulement partie de notre histoire…

Pas de « il était une fois » magique, donc par conséquent le « ils finirent heureux et eurent beaucoup d’enfants » était à oublier et rayé de la vie de Mariko Endô d’avance. Qui ça ? Vous allez le savoir, poursuivez avec un peu de patience encore. Une jeune femme pleine de vie, innocente et simple, assez intelligente n’ayant pas la moindre prétention. Elle s’imaginait que sa vie serait douce et ne passa que la plupart de ses années à mesurer l’erreur de sa naïveté. Jeune, elle vivait majoritairement avec sa mère, son père étant un homme qui se déplaçait beaucoup et d’assez instable. Seulement, on ne pouvait pas dire que la femme était tendre avec sa fille et la délaissait beaucoup, lui laissant même pas une contrepartie comme par exemple un rien de liberté. Au fil du temps déjà, Mariko se mourrait progressivement. L’école non plus n’avait pas été une épreuve facile à supporter, supportant l’incompréhension et les préjugés des autres. Elle n’avait que de rares amies, ne pouvant pas sortir autant que les autres élèves : bref, sa liberté limitée l’entravait beaucoup.

A sa majorité, la jeune femme n’hésita pas à quitter la maison familiale pour se trouver une vie ailleurs et c’est là qu’elle rencontra Akamatsu Junichi. Un homme apparemment brillant et de huit bonnes années son aîné. On ne pouvait pas prétendre au coup de foudre, car rappelez-vous : aussi bien le « il était une fois » était supprimé, que rien ne pouvait sonner tel un préjugé. Ce qu’est le coup de foudre. Alors parlons de magnétisme et de complicité instantanée. Instantané… Vous savez ce qu’il y a de dangereux là-dedans ? L’instantané, c’est comme un feu d’artifice. Artificiel pour commencer mais Mariko aimait les artifices qui l’éblouissaient peu importe la vérité derrière : elle la connaissait ou finissait par l’apprendre. Non le dangereux dans les feux d’artifices, c’est qu’au début, c’est beau, ça scintille ça brille. C’est soudain, ça explose comme un sentiment débordant mais après ? Et bien progressivement, il devient fade, les petits scintillements font comme des petits courts-circuits. C’est comme les chewing-gums, mais le phénomène dans ce cas et quand même plus long. Et sachant Mariko très passionnée, le risque était qu’à nouveau elle se perde dans des craintes et des souvenirs inutiles. Aussi sa naïveté n’avait toujours pas cessé d’être un des battements de son cœur et les paramètres de son bonheur n’avait pas ajouté au calcul que Junichi était aussi innocent et passionné qu’elle.

« That’s where it started » :

Parce que c’est ce jour-là où tout a commencé pour moi. Il paraît…

Un matin, assez tôt, on aurait pu croire qu’elle avait réveillé l’hôpital mais rien en était en fait. Pas un cri, pas un son n’était sortit de sa bouche. Il y avait vraiment de quoi douter que l’enfant soit bien née mais c’était le cas. Sans le moindre bruit, Reiko était la nouvelle de ce monde et si elle l’avait pu, un sourire se serait dessiné sur ses lèvres. Une enfant qui n’aspirait sans le savoir à faire le bonheur de sa mère et aussi le sien.
Ce jour-là, elle avait rendu cette femme heureuse, faisant alors refléter de nouveau une lueur enfantine dans ses yeux mais était-ce vraiment la meilleure chose… Parfois encore aujourd’hui, elle se demande. Mais c’était un vrai miracle pour elle qui avait déjà perdu un enfant auparavant. D’autant plus que la petite fille qui était dans ses bras avait manqué de peu ce à quoi son jumeau n’avait pas échappé. Effectivement, il y avait une perte de plus… Mais voyons les choses autrement : il en restait au moins elle et rien que ça constituerait déjà peut-être un bonheur suffisant pour la gentille nouvelle mère.

Et Junichi ? Oui, Junichi n’est pas très présent jusque là et c’est bien ça le problème d’ailleurs… Soit, l’homme avait fait acte de présence ces derniers temps et à la naissance de sa fille mais très vite après ça, les habitudes des années futures se dessinaient. Quelque chose que Mariko ne pourrait sans nul doute pas supporter pour longtemps. On lui avait déjà dit plusieurs fois que son mari était trop obsédé par son travail mais elle n’y entendait encore rien, n’y voyant que la construction de leur bonheur mais maintenant : ils avaient une fille. La petite elle n’y voyait absolument rien, faisant sa découverte innocente du monde : l’innocence était vraiment récurrente depuis… Pourtant, encore un peu et les choses changeraient.

Quatre ans. Ca faisait déjà quatre ans et pas grand-chose avait changé. Si ce n’est bien sûr la petite Reiko qui grandissait joyeusement comme tout enfant, étant quelque peu plus éveillée que les autres. Elle n’avait pas encore beaucoup de contact, évidemment, seulement les voisins alentours et sa mère. La famille de celle-ci ? Bien, c’était des gens assez spéciaux qui venaient quand bon leur semblait et qui avaient le don d’agacer au plus haut point Junichi, et inversement. Alors comme anniversaire, on pouvait rêver mieux mais ce jour-là, un cadeau énorme lui était donné : son père et sa mère, ils avaient l’air si bien qu’on aurait cru voir une photo. Pourtant, ils n’étaient pas l’un à côté de l’autre tout le temps et Mariko semblait déjà marqué par un ennui profond. Reiko elle-même avait hésité à faire quelques pas vers son père : c’était comme approcher un inconnu à la limite. Mais il y avait autre chose, comme si dans le malheur où elle allait vers cette image, ne profitant pas du tableau, oui c’était comme si elle n’aurait plus jamais avoir l’occasion de la voir. C’est terrible l’intuition d’une enfant non ? Pourtant elle ne savait rien de ce qu’il se passait en réalité dans son dos et les choses allaient un jour lui tomber comme une pierre sur la tête…

« Things were going wrong in order to get, after,… right ? » :

Même si tu ne l'as pas vu j'ai essayé de faire comme si ce n'était pas triste et de sourire

Jusque là, les choses n’étaient pas allées en s’arrangeant et les problèmes étaient plus apparent pour la jeune Reiko, âgée de 6-7 ans. Elle avait fait son entrée brillante à l’école où elle était une très bonne élève, brillante qui plus est. Du côté de Mariko, elle semblait encline à devenir de plus en plus malade et le fait d’avoir reprit le travail ne faisait qu’alourdir l’ennui qu’était devenue sa vie avec Junichi. Aussi présent, que supportable, autrement dit pas du tout, la mère de l’asiatique ne fut pas surprise de l’entendre dire un soir qu’il partait pour une durée indéterminée. Ca ne semblait pas affecter celui-ci plus que ça et Mariko n’y prêtait même plus attention : c’était encore son fichu travail qui servait de prétexte à ne pas tenir ses promesses.

Les quelques années suivantes se sont passées ainsi, entre le découpage des voyages réguliers de son père. Jusqu’à son départ pour environ 3 années. Pourquoi si longtemps ? Mariko n’avait même pas demandé et fut celle qui quitta la maison avec sa fille pour aller autre part attendant son départ. Manifestation claire de son mécontentement mais, Junichi était passé à côté, n’en ayant en fait plus grand-chose à faire. Seulement pendant que monsieur était en voyage ou dieu/bouddha savait quoi, c’était une jeune fille de douze ans qui s’occupait de sa mère malade. Sûrement la dépression et le travail avait achevé physiquement la japonaise… Ce qui était certain, c’est que soudainement, Reiko avait dû devenir plus responsable pour aider cette faible femme. N’y parvenant pas toujours hélas en fait. Aussi bien avait-elle développé une complicité avec sa mère, aussi bien celle-ci pouvait lui sortir des méchancetés sans le vouloir. Certes, cela arrive à toutes les mères de réagir comme ça, mais Reiko était déjà très sensible et s’imaginait vite être un problème parfois. Mais elle était devenue pourtant la confidente presque de la femme, écoutant des paroles bien trop crues pour elle (notamment la découverte de la mort de son jumeau qui lui resta en travers de la gorge) mais les acceptant avec calme et essayant de faire sourire la personne qu’était sa mère. C’était à partir de là qu’elle affirma son caractère et comprit qu’elle avait toujours inspirer à aider et faire une partie du bonheur de sa mère : assez dangereux comme pari…

Quoi qu’il en était, Junichi n’était jamais revenu jusque là et Mariko reprenait enfin le travail. Ce qui fit que la jeune fille devait se débrouiller seule. Pour tout ce qu’elle faisait dès à présent, Reiko en tirait une satisfaction personnelle étant la preuve qu’elle pouvait se débrouiller seule. Aussi, elle entrait alors à Shizuka, un institut scolaire où étudier, comme une autre mais qui allait changer un peu la jeune fille dans le cours de son histoire pour l’instant pas si extraordinaire. Choisir un clan ? Contre l’autre ? Les « Yuki » ? Intéressant… Pourquoi ce choix-là ? Simplement parce qu’elle trouvait chez eux un « endroit », si on peut dire, qui lui correspondait : par son caractère, comment elle faisait et voyait les choses. Mais avait-elle su que sa meilleure amie aujourd’hui choisirait l’autre clan ? Qu’importe ! Aujourd’hui encore, ça ne change rien. Seulement, c’est sa première année ici et qui sait ce que ces conflits peuvent être. Cela reste encore une page à écrire dans son livre…

Vouii bienvenue ~
Bonne chance pour la continuation de ta fiche ;D
* Heureuse qu'on prenne les PV * <3

Ps : de même que Ruki

Merci pour l'avatar, les votre sont magnifiques *-*

Mougna ~
J'attendais pas mieux pour la môdam *o*
{ Hate de lire l'histoire ~
J'dois y aller par contre ... Alors demain j'te valdie si Ru-kun l'a pas fait avant ;D
Byou ~

• Autre

Orientation > Bi' [ ] Homo [ ] Hétéro [ X ] Zoophile ? [ ]
Phobie > Hum, il ne faut pas rire, ou même dire "typique", mais elle craint vraiment les araignées... Petites, grandes, microscopiques ou même liliputiennes : elle n'aime vraiment pas ça ! Après avoir vu une araignée, elle reste au moins deux jours à regarder dans tous les coins s'il y en a une et j'exagère qu'un peu en disant ça !
Sinon, le passé et le futur sont sources d'angoisse... On peut presque parler de phobie oui.
Secret ? > Pas très envie de te le dire... Bon j'avoue, rien de majeur à part mes phobies : bien quoi !? Et ma fierté alors ?

• Vous

Pseudo > Kumi, Kumiko, Key (etc... comme vous voulez !)
Contexte ? > "Guerre" entre deux clans, c'est toujours prometteur en évènement donc.
Design ? > J'aime beaucoup l'Header ! Quant au noir et blanc, ça rend toujours bien.
Par qui êtes vous arrivé ici ? > J'ai trouvé le lien via une demande de partenariat sur un autre forum.
Moyenne de français > Environ 15/20 : Je ne veux pas me juger à tord, mais je ne fais aucune "énormité". Je repasse dans le doute à Word et j'édite jusqu'à qu'il y en ait plus (j'aime pas ça les fautes XD).
Code > Validé by Keishi ;D

wahou OÔ
J'ai TOUT lu * voui je précise j'le fais pas toujours uou *
Et puis j'irais pas me plaindre de voir la fiche séparée en deux post ! ;D
Tout est P-A-R-F-A-I-T ! Heart

Tu peux faire les demandes nécessaire et commencer à Rp !
Amuses toi bien ici ~